NIKI DE ST PHALLE – 11.01.2018
NIKI DE ST PHALLE – 11.01.2018

NIKI DE ST PHALLE – 11.01.2018

BIOGRAPHIE DE L’ARTISTE :

Niki de saint Phalle, dite Catherine Marie-Agnès Fal de Saint Phalle et née en France en 1930. À ses 3 ans, sa famille part s’installer aux États-Unis. Jeune adulte, elle entame une carrière florissante de mannequin et fait les couvertures de Vogue ainsi que Life Magazine. À 18 ans, elle s’enfuit pour épouser l’écrivain Harry Mathews et le couple s’installe à Paris dans les années 1950 pour y vivre et y travailler. Deux enfants naissent de cette union : Laura et Phillip. 3 ans plus tard, après une hospitalisation pour dépression nerveuse, Niki de Saint Phalle se met à la peinture. C’est à ce moment charnière qu’elle décide de devenir artiste.

En 1960, elle se sépare de Harry Mathews, en lui laissant la garde des deux enfants, pour poursuivre une carrière artistique. Elle prend un atelier, où elle s’entoure d’autres artistes dont Jean Tinguely, qui deviendra son fidèle collaborateur et qu’elle épousera par la suite. Seule femme du groupe avant-gardiste des Nouveaux Réalistes, elle côtoie de grands noms de l’époque, dont Jasper Johns et Robert Rauschenberg. Les oeuvres de l’artiste figurent aux cimaises de grandes expositions au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris et dans The Art of Assemblage au Musée d’Art moderne de New York. Au milieu des années 60, elle se lance dans la création de ses œuvres désormais emblématiques, «Les Nanas». En 1966, Niki collabore avec Jean Tinguely et Per Olof Ultvel à l’élaboration de Hon pour le Moderna Museet de Stockholm. Son œuvre, une Nana monumentale allongée, occupe la totalité de la salle d’exposition. Les visiteurs peuvent y pénétrer et y déambuler. C’est à cette époque qu’elle élabore ses premières sculptures en plein air, comme Le Paradis fantasque (avec Tinguely). En 1970, elle est sollicitée pour de nombreux projets architecturaux à travers le monde. Dans la même année, une amie d’enfance lui offre un terrain en Toscane où Niki de Saint Phalle réalise enfin son rêve : créer un jardin de sculptures monumentales – Le Jardin des Tarots. Les travaux commencent en 1980. Au cours des dix années qui vont suivre, Niki de Saint Phalle va, avec l’aide d’amis et de collègues, travailler sur le projet. En 1982, elle s’installe dans L’Impératrice, un bâtiment en forme de sphinx qui fait office d’atelier et de domicile. Elle crée une série de sculptures épurées baptisées The Skinnies, qui font l’effet de dessins-sculptures linéaires dans l’espace. Le Jardin des Tarots ouvrira finalement ses portes au public en 1998.

En 82, elle travaille avec Jean Tinguely sur la Fontaine Stravinsky sur l’esplanade du Centre Georges Pompidou à Paris, en hommage au compositeur Igor Stravinsky. C’est à cette époque qu’elle commence à souffrir des premiers accès récurrents et invalidants de polyarthrite rhumatoïde. Au milieu des années 1990, elle s’installe à La Jolla pour des raisons de santé, mais elle continue à accepter de nombreuses commandes publiques dans le monde entier. début les années 2000, elle réalise Queen Califia’s Magical Circle qui sera son dernier grand projet. l’artiste s’éteint en 2002 à l’âge de 71 ans à La Jolla.

MON AVIS PERSONNEL SUR L’EXPOSITION :

Mon avis a étais au début, très mitigé sur le fait d’aimer ou non, le travail de cette artistique. Dès l’entrée du lieu, les œuvres que l’exposition avait exposer m’avait confirmé que mon avis sur Nicki étais négatif mais cela a changer au fur et à mesure que j’ai avancé dans l’exposition. Les premières œuvres étais macabres, détruites, très sombres et à mon point de vue ne ressembler à rien avec quelques sentiments bien négatifs « a aller ce pendre » . Quand j’ai vu pour la 1 er fois, l’une de ses « nana » mon visage c’est illuminé et j’ai vite oublier les idées macabres qui me venais à l’esprit. Je crois sans mentir que les magnifiques dames colorées de nicki, sont les œuvres favorites et choisir celles que je préfère et assez difficile. Rien n’est plus beau qu’une œuvre qui représente une femme et de plus harmonisée par de belles couleur fléchies.

Le BAM a rendu la visite, plus que agréable. Les interactions numériques avec certaines œuvres et assez sympathiques et qui amuse petits comme grands. La petite salle de cinéma qui passer une vidéo d’elle étais un endroit intéressant et paisible pour s’informer sans effort. En rajoutant à cela, les guide qui sont super et impressionnant quand ont vois toutes les choses qu’ils ont du retenir.

MON OEUVRE FAVORITE ET CELLE QUE JE N’AI VRAIMENT PAS AIMÉ :

Niki de Saint Phalle, Les trois Grâces, 1994

J’ai eu beaucoup de mal à choisir celle que je voulais présenter, finalement j’ai choisie : « les trois grâces » car elle fait partie de mon top 5. Pourquoi ? Car j’apprécie tout sur cette sculpture. Les formes harmonieuses des 3 corps, les couleurs qui se mélange à la perfection ainsi que la façons dont elle sont disposées. Le fait qu’elle danse donne un petit plus à l’œuvre. Quand je la regarde, je suis bizarrement joyeuse et remplis d’émotions super positive.

Encore une fois, c’est la bizarrerie qui gagne. Mais qu’es que c’est cette « femme » ? Elle fait peur, elle m’angoisse et tue tout mon idéale de la mariée « gracieuse et charmante « . Son oeuvre réussi sûrement bien sont rôle, de susciter aux visiteurs des sentiments trés proche du bizarre et je suis tomber dans cette catégorie de personne, malheureusement. Quand je parle de mariée  » gracieuse et charmante « , je parle du fait que cette sculpture a retirer de ma tête l’idée que j’avais sur les marié car pour moi c’est charmant une mariée, c’est un privilège, ect… La, elle répresente une femme forte, un peu dévisager par le masque et entourer d’objects ressemblant a des bébés. Ça me fait penser que sa vision des choses, de son coté etais égale à : Mariée = prison,

 

11.01.2018 – BAM ( MONS ) – Visite scolaire.

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