Horreur à l’américaine

American Horror Story est une série télévisée d’anthologie créée par Ryan Murphy et Brad Falchuk.

Chaque saison présente une histoire autonome avec une distribution d’acteurs principalement récurrente et des crossovers entre les récits. Les thèmes abordés incluent la peur, le déséquilibre psychologique, le gore et les tabous sociaux, avec des références à des faits divers, des films d’horreur classiques et des légendes urbaines.


Dans le premier, « Murder House », la famille Harmon emménage dans une maison victorienne à Los Angeles, découvrant qu’elle est hantée par ses anciens résidents. La deuxième saison « Asylum » se déroule dans un asile psychiatrique en 1964, où des patients font face à des atrocités et à des expériences inhumaines. Le troisième chapitre « Coven » se concentre sur une école de sorcières à La Nouvelle-Orléans, dirigée par Fiona Goode, la sorcière suprême. Enfin, dans le quatrième, « Freak Show », le cabinet de curiosités d’Elsa Mars en 1952 à Jupiter, en Floride, est au centre de l’intrigue, avec ses membres tentant de maintenir leur gagne-pain malgré les menaces extérieures.

J’aime le fait que cette série parle de sujet tabous et peu populaires. Cela la fait sortir du lot. J’aime aussi que certains acteurs reviennent dans toutes les saisons même si les thèmes sont complètement différents.

N’ayant pas suivi les sorties des autres saisons, j’ai recommencé à regarder avec la 7 intitulée « Cult » où l’élection de Donald Trump déclenche les peurs refoulées d’Ally, alors qu’elle et sa famille sont confrontées à une secte violente menée par Kai Anderson, qui manipule la terreur pour accéder au pouvoir politique local. J’ai beaucoup aimé les retournements de situations et les plot twist inattendus ainsi que les caractères des personnages.

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