poème

  • poème

    L’avenir

    Dans ce train qui rouleVers un avenir incertainMon passé rouilleMais je construit mon lendemain J’avance vers un futurQui peut faire peurMais qui me rassureCar je m’en vais ailleurs Je vais vers une autre vieJe vais de l’avantCar mon passé est maintenantRien d’autre que fantaisie J’avance seuleLes bagages en mainJe passe le seuilDe ce qui est mon destin

  • a bunch of colorful umbrellas hanging from wires
    poème

    La créativité

    Je laisse ma plume me guiderLaissant s’exprimer ma créativitéSe besoin de vous partagerLes choses avec intensité Cet art n’est pas réservéIl vous est libre d’y accéderMais faites attentionCar après cela sera une addiction Toutes ces couleursOnt un cœurToutes ces nuancesOnt un sens L’art permet de s’exprimer, se dévoilerSur des sentiments rencontrésDe partager, faire profiterle monde de la beauté de la créativité L’art, le dessin,…Ne sont pas pour ceux qui ont les moyensMais pour ceux qui ont de l’espritCeux qui savent savourer la vie

  • poème

    lettre envolée

    Cher madameVous qui faites danser les âmesLaissez moi vous adresserCette lettre envoléePremièrement, veuillez m’excuserDe vous importunerMais j’aimerais vous compterl’un des plus beau péchéLe péché d’aimerMais aussi de vous désirerVous que l’on regarde passerEn espérant pouvoir vous enlacerVos lèvres d’un rouge si durVos yeux d’un air si purFont fondre les cœursEt font taire les malheursVos cheveux étincelantQui virevoltent au gré du ventSont l’objet de regardsAinsi que la volonté d’un rencard

  • poème

    La tristesse

    La tristesseCette tigresseQui mange sa proieQuand elle est au plus bas Elle arrive sournoisementTe guette impatiemmentNe te lâche pasTant que ton cœur bat Tes espoirs réduits à néantles bras ballantsElle dévore le peu en toiQui avait encore un peu de joie C’est quand tu t’y attends le moinsQu’elle débarque enfinNe te laissant rienSauf du chagrin

  • poème

    Mot envolé

    Cher monsieur,Vous qui êtes si majestueuxLaissez moi vous adresserCe mot envolé Premièrement, pardonnez-moiVous que l’on considère comme un roiJe vous importunePour vous compter la lune Une histoire abracadabrante me direz-vousEt bien non vous n’êtes pas fouCe mot envoléTémoigne des sentiments soufflés Une peau aussi douce que le veloursDes yeux aussi perçant que le jourVous avez touché un cœurDont l’hymne était le malheur Une voix réconfortanteDes lèvres envoûtantesEt vous avez touché une âmeQui était noyé de larmes Vous avez fait surgir un soleilEt bien tant de merveillesDans la pénombreQu’était devenu ce monde Alors oui je vous importune peut-êtreMais veuillez accepter cette lettreCe mot envoléTémoin de sentiments soufflés