Début
Alors voilà, y a seulement quatre mois, je me suis lancé dans les dessins en mode rapide, le « rough » comme on dit. Avant ça, sérieux, j’avais jamais vraiment tripoté un crayon sérieusement. Mais depuis, franchement, c’est devenu une autre histoire.
Au début, c’était un peu le bazar. Les traits partaient dans tous les sens, les formes étaient floues. Mais à force de m’y mettre, de griffonner à tout va, je vois réellement la différence. Les erreurs, au lieu de me dégoûter, je les vois comme des étapes vers du mieux.
Ce qui est cool avec les dessins « rough », c’est que ça va vite. Pas de prise de tête, tu fonces et tu vois ce que ça donne. C’est vraiment une façon libre de s’exprimer, tu testes des trucs sans te prendre la tête.
Maintenant, quand je regarde mes dessins d’il y a quatre mois, c’est un peu fou. C’est ouf comment ça a changé. Les lignes sont plus nettes, les idées fusent plus facilement, chaque dessin devient comme un terrain de jeu où je m’éclate à essayer des nouveaux trucs.
En gros, les dessins « rough », ce n’est pas juste un délire artistique, c’est devenu un vrai kif. En quatre mois, je n’ai pas seulement appris à dessiner plus vite, j’ai carrément pris goût à ce processus créatif. Ce n’est pas toujours tout lisse, mais voir son propre progrès à chaque feuille, ouais, ça vaut le coup. La pratique, même en mode rapide, ça paie toujours.
Quelque Création :
